Visite le 27/09
de 17 h à 18 h 30
Kaleidoscoop
5, rue de la Coopérative
La transition écologique au cœur de son ADN
Préserver les ressources, concevoir un bâtiment résilient, tels sont les défis que relève KaléidosCOOP, lieu de vie et de travail transfrontalier, qui s’installe sur l’ancien site industriel de la Coop au Port du Rhin. Cette visite sera l’occasion de présenter les actions du tiers-lieu en faveur du réemploi et de l’économie circulaire, leviers incontournables pour réduire l’impact environnemental dans le secteur de la construction. Celle-ci sera accompagnée par l’Agence du climat, guichet des solutions en matière de bâti durable et d’énergie sur le territoire métropolitain et par BOMA.
Quelques notes prises en vrac ...
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Le Kaléïdoscope est un tiers lieu de 3.000 m2.
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La boulangerie se trouve en face du siège social de la COOP.
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Importance de la transmission écologique. 50 partenaires sont parties prenantes du projet.
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Une boutique de 500 m2 sera ouverte fin décembre 2022 - début 2023.
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Le choix a été fait en fonction de clauses sociales (par exemple : 10% de personnes éloignées de l'emploi).
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On garde les piliers apparents en faïence (même s'ils sont abîmés) ainsi que le plafond.
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La verrière est le coeur battant de ce lieu.
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C'est aussi un lieu de passage et de rencontres.
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Pour la rénovation, il a d'abord fallu faire un état des lieux, un inventaire des ressources disponibles dans le bâtiment existant.
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Ce projet a aussi permis d'éviter un étalement urbain.
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Le café sera un lieu de rencontre accessible aussi aux personnes venant de l'extérieur, de passage.
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BOnnes Matières :
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il faut savoir que dans le bâtiment il y a en France, 46 millions de tonnes de déchets
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B 2 R : recyclage et ré-emploi.
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Les points phone seront fait avec des panneaux récupérés dans d'autres chantiers
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l'ensemble des sanitaires a été récupéré sur d'autres chantiers
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Cabine de traducteur (pour conférence)
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Coopération trans-frontalière
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Les manifestations devront avoir le label "Eco Manifestations d'Alsace"
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Le traiteur sera chois dans une liste de traiteur qui respecteront la charte éco-responsable
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Pas de climatisation , mais une ventilation à double flux
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Le sol de l'étage sera en fibre de bois
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Plafonds rayonnants
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16 salles de réunion
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50 postes de travail pérennes et 40 postes de co-working
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Une grande cuisine pour les personnes qui travaillent au Kaléïdoscope sera crée (150 m2)
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Création de douches (pour permettre de venir en vélo et de se doucher pour le travail).
De la réhabilitation des bâtiments aux meubles, le cas de l’administration
à la Coop et de son projet de tiers-lieu Kaleidoscoop
Tour d’horizon des sources d’inspiration pour préserver les ressources et minimiser l’impact environnemental du projet de réhabilitation d’une aile de l’ancien siège de l’Union des Coopérateurs d’Alsace : nouvel usage du bâti, réemploi, choix des matériaux locaux et biosourcés, aménagement des espaces, récupération des eaux de pluie, végétalisation des espaces, réduction des impacts énergétiques, mobilités douces, etc. Découvrez l’ensemble des solutions pensées pour la transition écologique du territoire
Un immense MERCI pour cette visite d'un lieu appelé à devenir
le poumon de ce quartier de la Coop
La rénovation du patrimoine industriel local
face aux défis écologiques
Visitez le bâtiment de l’Administration en présence de :
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avec Jean CHAPOT - architecte du cabinet de l’architecte-urbaniste-paysagiste Alexandre Chemetoff (à l’origine du plan-guide du quartier Coop)
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en compagnie de Claire Bardet, chargée d’opération à la SPL Deux-Rives,
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Benoit Streicher (UN1ON),
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Manon Marquis, coordinatrice Kaleidoscoop
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Anne Perret (Kaléidoscoop).
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Découvrez comment la rénovation du patrimoine local permet de faire face aux défis écologiques.
Quelques notes prise en vrac ...
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Importance de trouver une mixité urbaine :
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1000 personnes travailleront dans le site de la Coop.
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Une des limites du plein-emploi est la contrainte de certains règlements (assurance par exemple, ...)
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Plantations d'espèces indigènes
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La verrière qui était sombre a été déposée et une nouvelle verrière a été installée.
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L'ouverture du Kaléïdoscope est prévue pour fin 2022 - printemps 2023.
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Le "clos-couvert" a été terminé en décembre 2021
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Coût du Kaléïdoscope 3 millions €
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dont 2 M € pour le chantier proprement dit
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Récupération des eaux de pluie
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La salle événementielle est divisible en 3.
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Vitrine de l'économie sociale et solidaire
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Isolation par l'intérieur pour préserver l'aspect extérieur.
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Sol neutre pour marquer le contraste avec les poteaux apparents
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La Maison de l'Emploi aura une antenne dans ces locaux.
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travail transfrontalier
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ouverture prévue en janvier 2023
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KaleïdosCoop
Lieu de vie transfrontalier pour une transition économique, écologique et sociale
Grenzüberschreitender Lebens
und Arbeitsort
für eine wirtschaftliche
und sozial-ökologische Wende
Tour d’horizon des sources d’inspiration pour préserver les ressources et minimiser l’impact environnemental du projet de réhabilitation d’une aile de l’ancien siège de l’Union des Coopérateurs d’Alsace :
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nouvel usage du bâti,
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réemploi,
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choix des matériaux locaux et biosourcés,
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aménagement des espaces,
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récupération des eaux de pluie,
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végétalisation des espaces,
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réduction des impacts énergétiques, mobilités douces,
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etc.
Visite le 30/09
de 17 h à 18 h 30
Kaleidoscoop
5, rue de la Coopérative
Cette friche industrielle de 3000 m2 fraîchement réhabilitée accueille bureaux, espaces de co-working, centre de coopération transfrontalier, salles événementielles, café et boutique responsable. Ici on partage et on cultive un nouveau rapport au monde, au travail, plus éthique, plus équitable,au service de l'humain et de la planète.
Kaléïdoscope est un lieu dynamique, ouvert à tous, pour travailler, apprendre, se détendre et construire ensemble le monde de demain.
BONUS : Hors JA
Visite le 03/11
de 12 h 30 à 13 h 30
Organisée par Kaleidoscoop
5, rue de la Coopérative
Visite KaléïdosCOOP
Jeudi 3, 10 et 17 novembre et lundi 21 novembre 2022 de 12h30 à 13h30
KaleidosCOOP 5, rue de la Coopérative, 67000 Strasbourg. Evénement gratuit, sans inscription
KaléidosCOOP est constitué en SCIC
(Société Coopérative d’Intérêt Collectif)
Structure de l’ESS (Economie Sociale et Solidaire), profondément ancrée dans les valeurs de développement durable, la SCIC KaléidosCOOP rassemble 20 partenaires allemands et français et est présidée par Peter Cleiß, figure allemande incontournable de la coopération transfrontalière sur l’espace Strasbourg-Ortenau.
Les co-pilotes :
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Maison de l’emploi de Strasbourg,
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CRESS Grand Est,
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Cooproduction
La Vitrine de l'Economie Sociale et Solidaire
Un espace de 465 m2 dédié à la valorisation et à la vente de produits et services socialement et écologiquement responsables avec :
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Envie,
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Emmaüs,
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Le Relais Est,
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Les Jardins de Gaïa,
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Vélo Station, ...
et des animations pour accompagner les transitions écologique et sociale :
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Repair Café
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Atelier DIY, ...
Merci
Anne, Andrea et Alexiane
pour cette visite .
A bientôt pour prendre un café !
Le Café et le patio
Le Café proposera une petite restauration simple et saine, conçue avec des produits locaux. Il est attenant à un patio installé autour de la cheminée en briques datant de 1911.
Un appel à projet est en cours pour trouver un exploitant respectant la charte "solidaire".
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Au total c'est 2 800 m² transformés en espaces de coworking, boutiques et café sur un ancien site industriel dont on a retiré les vestiges boulangers
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300 m² qui ont été réservés à un hall événementiel.
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Les anciens plafonds et les piliers sont laissés apparents et en l'état : par souci d'économie et pour garder le vestige de l'ancienne boulangerie de la Coop.
Espaces de coworking
Il sera loué à la place de travail et non en en surface en m2
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Un espace pour utilisation à l'année
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3.000 € HT par place de travail incluant la location de salles de réunions et la location 1x dans l'année de l'espace événementiel (ou 3x la petite salle événementielle, car la grande salle peut être divisée en 3 espaces)
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la boutique solidaire peut fournir le mobiler (avec EMMAUS)
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il reste encore quelques places à louer
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Un espace en location à la l'heure, à la journée, au mois
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location au mois : 180 € TTC par place de travail
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location de salles de réunions et de la salle d'événementielle non comprises.
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le tarif à l'heure, à la journée est en cours d'élaboration
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Pour tous les utilisateurs,
utilisation possible d'une cuisine partagée,
de douches pour les travailleurs cyclistes.
Cuisine partagée
Un grand îlot autour duquel se retrouver et cuisiner, une table des habitués, une terrasse pour une pause-café.
L'espace événementiel
Un lieu atypique
pouvant accueillir 300 personnes
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modulable en 3 salles distinctes
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il peut accueillir réunions, formations, workshop, ...
Les événements pourront se prolonger sous la verrière attenante et bénéficier de 2 espaces traiteur et d'une cabine de traduction pour des rencontres internationales et/ou gourmandes.
L'espace d'accueil
Un espace d'accueil généreux et ouvert à tous, à l'image du tiers-lieu. Un lieu où l'on a envie de s'attarder, d'en savoir plus et de revenir.
Un accueil qualifié
permettra la mise en relation
avec les professionnels
installés au 1er étage.
APPEL A CANDIDATURE POUR L'EXPLOITATION
D'UN CAFE
AU SEIN DU TIERS-LIEU KALEIDOSCOOP
16 novembre 2022
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Dans un mois jour pour jour, nos premiers colocataires commenceront à s'installer à Kaleidoscoop. L'occasion de nous projeter et de passer à la prochaine étape de notre développement : trouver le ou la future exploitant du café !
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Alors, nous publions notre appel à candidature pour l'exploitation d'un café au sein de notre lieu de vie et de travail transfrontalier.
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La date limite de réception des candidatures est le 19 décembre 2022.
Les dossiers complets sont à envoyer à : contact@kaleidos.coop
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Pour toutes demandes d'informations complémentaires ou pour organiser une visite du lieu, nous sommes joignables et disponibles à cette même adresse mail ou sur nos réseaux sociaux.
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L'ouverture, c'est pour très bientôt !
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Le document est consulter ICI
#Café #tierslieu #partage
#candidature #territoire
#impact #strasbourg
Boutique Kaleidoscoop il y aura :
EBS Le Relais EST - Collecte, tri et valorisation de textiles usagés en Alsace et Franche-Comté
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Le Relais Est est une entreprise à but social (EBS), coopérative et participe (SCOP).
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Depuis plus de 25 ans, Le Relais Est collecte, tri et revalorise des textiles, linge de maison et chaussures (TLC) en Alsace et Franche Comté.
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Membre d’Emmaüs France, la vocation du Relais Est est double :
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- Créer des emplois en insertion pour des personnes exclues du monde du travail sur les métiers de la collecte, du tri et de la vente.
- Limiter le volume des déchets par le recyclage et réemploi de textiles usagés.
- Le Relais Est dispose, à ce jour, de 11 friperies solidaires.
- Motivation : Intégrer l'espace commercial de KaléïdosCOOP nous permet de : renforcer notre implication dans l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) sur Strasbourg Eurométropole participer à une dynamique au sein du réseau strasbourgeois nous intégrer dans une dimension européenne et transfrontalière
30 novembre 2022
Visite le 01/10
de 10 h 30 à 12 h
3 Place de l'Hippodrome
Centre Socio-culturel du Port du Rhin
Volumétrie
La qualité urbaine et architecturale de la place de l'hippodrome a incité l'architecte à prendre un parti fort sur la volumétrie et à permettre au bâtiment de dialoguer avec les deux églises et la pharmacie. Le volume exploite la 1ère partie de la parcelle située le long de la place et libère ainsi un bel espace libre pour l'aménagement d'un jardin pédagogique en fond de parcelle et accessible directement par le péri-scolaire du groupe scolaire.
Le biaisement de la volumétrie permet de libérer les vues du pignon du groupe scolaire.
Un grand MERCI
pour cette belle visite
Architecte :
Philippe GIBERT
Chef de projet :
Géraud LEBRUMENT
Architecte
Philippe GIBERT
Maîtrise d'ouvrage
Ville de Strasbourg
Direction de l'Architecture
et du Patrimoine
Chef de projet
Géraud LEBRUMENT
Etapes
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Délibération
27 juin 2016
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Maîtrise d'oeuvre
Fin 2018
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Démarrage des travaux
Rentrée 2020
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Mise en service :
Rentrée 2022
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Coût :
3.450.000 €
De par sa position géographique transfrontalière, le Port du Rhin constitue une entrée de Ville très fréquentée. Les mutations en cours au sein de ce quartier en plein essor (la population de ce quartier est passée de 1.500 à 4.000 habitants) sont bien accompagnées en terme de modernisation des services et d'équipements (groupe scolaire, Maison de la Petite Enfance, commerces, ...)
Matérialité
L'architecte a choisi le béton brut afin d'affirmer l'image du monolithe. Il offre une matérialité forte et massive. La matérialité du bâtiment renforce ainsi l'image et le caractère unique du bâtiment.
Les grandes baies vitrées viennent creuse ce volume et former un équilibre en "pleins" et "vides". La lumière naturelle est privilégiée pour tous les espaces et elle favorise les apports gratuits (éclairage naturel, énergie et chaleur solaire).
Organisation des pôles
L'établissement de 940 m2 utiles regroupe 2 pôles au sein d'un même bâtiment.
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un centre Socio-culturel (CSC) de 740 m2 organisé en rez-de-chaussée et à l'étage
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un Centre Médico-social (CMS) occupant l'autre partie de l'étage
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des locaux partagés de 30 m2 situés à l'étage
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un ascenseur est partagé entre le CSC et le CMS
A l'intérieur l'accent est mis sur la cohabitation harmonieuse entre les deux pôles tout en fonctionnant de manières autonomes. Les 2 pôles sont différencés sans être dissociés du bâtiment.
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Le hall
Lieu d'accueil et de convivialité. C'est un espace transparent, ouvert sur le parvis et l'Avenue du Pont de l'Europe. L'architecte Phillippe GIBERT a souhaité que ce hall soit un lieu d'activités attractif et convivial (exposition, information, cafétéria). Il sert d'espace tampon et distribue l'ensemble des salles du centre Socio-culturel.
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Les flux
Une attention particulière a été apportée à la gestion des flux afin de rendre les parcours fluidess. Depuis le hall, les différentes activités et le parcours pour y accéder sont identifiables et se fond autour d'un bloc central accueillant les sanitaires. L'escalier - bien visible - permet d'accéder à l'étage du CSC. Les circulations ont été minimisées au profit du hall.
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Le pôle jeunesse
Accueille un espace multi-activités et un espace jeunes. Il est avec le hall l'élément visuel fort du Centre Socio-culturel par sa façade ouverte sur l'extérieur. Son entrée secondaire accessible depuis la Place de l'Hippodrome offre un fonctionnement totalement autonome par rapport au reste de l'établissement.
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L'espace multi-média
Est accesible à la fois depuis le hall mais aussi depuis le pôle jeunesse et est également l'élément fort du CSC.
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La cuisine pédagogique
Est située au plus proche du pôle jeunesse et du pôle enfants et ouverte sur la circulation du hall.
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Le pôle enfants
Pour ce pôle, une implantation à l'écart du domaine public a été privilégiée pour une plus grande tranquilité. Il bénéficié en plus de son entrée principale depuis le hall, d'une entrée secondaire pour le péri-scolaire depuis la cour du groupe Scolaire. Les grandes transparences sur le jardin pédagogique offrent un éclairage naturel optimal. Il accueille une salle d'activité et une bibliothèque.
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Le bureau des animateurs
Est stratégiquement placé. Il est connecté directement depuis le hall.
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Le pôle administratif
Situé à l'étage et est directement accessible depuis le hall via l'escalier.
On y trouve des bureaux et une salle de réunion mutualisée avec le Centre Médico-Social.
Le Centre Médico-social
Il est situé dans l'autre partie de l'étage et est accessible depuis la Place de l'Hippodrome. Le public y accède depuis un sas situé en rez-de-chaussée accueillant un escalier et un ascenseur. Une fois à l'étage, l'ensemble du pôle s'organise sur les façades Sud-Est et Sud-Ouest.
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La salle d'attente proche des circulations verticales et d'un espace lumineux ouvert sur le domaine public où le public peut aisément se diriger vers l'accueil qui lui fait face.
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Le bureau d'accueil est largement ouvert sur l'espace d'attente et exerce un contrôle visuel de l'arrivée du public.
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Les autres bureaux et salles de consultation sont placés autour d'une circulation dont l'accès au public est contrôlé.
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Les espaces mutualisés avec le CSC (salles de réunion et sanitaires) s'organisent sur le même niveau.
Conclusion de l'architecte
que je remercie vivement pour l'utilisation de ses notes
"Les notions simples qui ont guidé la conception de ce bâtiment s'appuient sur la convivialité du hall d'accueil, des espaces et des circulations et d'ouvrir le Centre Socio-Culturel "Au delà des Ponts" sur le site".
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Le Centre Socio-culturel est géré par l'association "Au-delà des Ponts"
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Le Centre Médico-social est géré par le "public" et ne reçoit que sur rendez-vous ; il a été ouvert en juillet 2022.
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Le chauffage est rélié au Réseau Urbain de Chauffage
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l'isolation phonique a été améliorée par des "pièges phoniques" sous les toits et visibles dans les pièces du 1er étage
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ventilation à double-flux
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vitrage à contrôle solaire
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rideaux avec aluminium intégré
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Un point d'eau a été crée dans chaque ensemble d'armoires
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Les travaux ont débuté en 2020, freinés par la Covid-19
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Le gros oeuvre a été achevé au printemps 2021.
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Les grandes salles peuvent être facilement divisées selon les besoins grâce à un mur mobile intégré.
Le site ambitionne de devenir une passerelle entre ancien et nouveau quartier pour tendre vers plus de mixité sociale et tisser du lien entre les habitants. C'est un levier pour le renouvellement et le développement urbain mené par l'Eurométropole depuis plusieurs années sur le quartier du Port du Rhin.
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Rez-de-chaussée :
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Jardin pédagogique : 180 m2
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Cuisine prédagogique : 30 m2
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Bibliothèque : 20 m2
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Stockage : 30m2
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2 salles multi-activités schindables et espace multi-média : 225m2
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Bureau animateurs : 40 m2
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Hall et accueil : 105 m2
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1er étage :
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Salle de réunion mutualisée CSC et CMS : 40 m2
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Locaux techniques : 55 m2
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Bureaux administratifs : 55 m2
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Médecin et puéricultrice : 30 m2
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Accueil : 20 m2
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Salle d'attente : 30 m2
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Salle de réunion : 25 m2
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Découverte
du Parc des Expositions
au Wacken
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Avec la construction du parc des expositions à proximité du Palais de la musique et des congrès, l’Eurométropole de Strasbourg souhaite créer un pôle d’attractivité économique dédié à l’événement.
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Ce nouveau site aux portes de la ville est un bijou en matière de standards environnementaux dans le bâti.
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La première phase à découvrir comporte quatre halls, d’une surface totale de 23 000 m2 qui font la part belle au bois, à la lumière et aux équipements économes en énergie.
Visite le 08/10 de 10 h 30 à 12 h
Ce bâtiment, réalisé par l’agence d’architecture Kengo Kuma, a été construit sur des friches
.
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Il fait également la part belle à l’utilisation du bois et aux équipements techniques sobres en énergie.
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On peut citer des techniques de rafraîchissement de type géocooling, le raccordement à une chaufferie en biomasse.
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En outre, à part les charpentes métalliques, tous les autres composants viennent d’entreprises alsaciennes.
Points clés :
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ARCHITECTE :
KENGO KUMA & Associates
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MAÎTRE D'OUVRAGE
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Eurométropole de Strasbourg
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Direction de l'Architecture et du Patrimoine
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Chef de projet : Eric DUSSIER
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ETAPES
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Délibération :
22 décembre 2017
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Etude de maîtrise d'Oeuvre :
Automne 2018
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Démarage des travaux :
Juillet 2020
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Mise en service prévisionnelle :
Eté 2022
(pour l'ouverture de la Foire Européenne)
COÛTS
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Montant de l'opération :
120 M € TTC dont :
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Etat :
3,8 M €
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Région Frand Est :
10 M €
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Département du Bas-Rhin :
6,5 M €
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Ville de Strasbourg :
10 M €
Le nouveau Parc des expositions
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23 000 m2 de surface d’exposition et de visite,
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4 halls d’exposition allant de 4 420 m2 à 6 138 m 2 (hall 1)
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une grande nef lumineuse de 1200 m2
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2 400 m3 de bois en structure, habillages et isolation qui permettront de stocker 1. 700 tonnes de CO2.
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Un parking en silo de 862 places est en cours de construction livraison juillet 2023 avec :
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54 places équipées pour véhicules électriques
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37 places pour 2 roues
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à l'extérieur un parc à vélo de 300 places
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Les aménagements paysagers sont prévus pour 2023
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un parvis d'accueil de 9.100 m2
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un parking exposants pour 264 Véhicules Particuliers
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dont 6 Personne à Mobilité Réduit
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12 Poids Lourds
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Le Parc des Expositions de Strasbourg est une pièce maîtresse de la réorganisation du site du Wacken. Marqueur de l'entrée de ville, en tête de l'Avenue Herrenschmidt, le projet s'insère dans un paysage boisé et fluvial, en synergie avec le Palais de la Musique et des Congrès.
Ensemble, les 2 infrastructures constituent un espace urbain au niveau de la porte d'entrée Nord de Strasbourg et viennent apporter une dynamique à la capitale européenne.
L'ouverture de ce nouvel équipement vient renforcer l'attractivité économique de l'Eurométropole, en attirant un tourisme d'affaires national mais aussi international.
Sa complémentarité avec le palais de la Musique et des Congrès permet d'accueillir simultanément de grands événements et de développer une nouvelle programmation.
Le hall n° 1 est formaté et labellisé pour se transformer en salle de spectacles.
Le projet lisière respecte la végétation environnante et la cinquantaine d'arbres remar-quables située au sein de la ripisylve le long du canal (des gradins et assises sont prévues).
Aucune suppression d'arbres et plantation d'une centaine de nouvelles espèces.
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Le toit a une hauteur qui va de 14 à 19 mètres.
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270 poteaux soutiennent la toiture. La portée est de 56 mètres.
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La hauteur des halls d'expositions est de 9 mètres
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Optimisation du confort thermique :
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Raccordement au réseau de chaleur urbain local en biomasse (énergie renouvelable)
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Conception thermique performante des bâtiments (isolation renforcée en façade et en toiture, protection solaire, opacité et panneaux orientés en façade pour diminuer les apports solaires, ...)
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Ventilation naturelle nocturne par ouvrants discrets situés en façades des halls et en toiture et rafraîchissement par géocooling depuis la nappe phréatique.
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Performance thermique équivalente à la RT 2012.
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La couleur grise permet une neutralité et de rendre les tuyaux plus discrets.
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Les lames ondulées sont différentes pour chaque hall et permermettent de mieux séparer visuellement les halls.
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Les passerelles à l'étage permettent de séparer les différents halls dans la nef. Elles permettent aussi aux personnel et exposants d'avoir un endroit privilégié pour avoir une vue d'ensemble, de déjeuner en toute tranquilité et d'avoir accès à la lumière naturelle.
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Les poutres en bois donnent de la chaleur au bâtiment et sont traitées avec 3 couches de lasure pour éviter le vieillissement trop rapide du bois.
Conférence le 11/10
à 18 h 30
Oberrheinhalle Schutterwälder Str. 3
Offenburg
Conférence
de Tatiana BILBAO
EQUITONE sponsor principal des temps forts
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Claude DENU
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président de la MEA
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Amélie FLEURY
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responsable de la programmation des JA
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Frank SCHERER
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Landrat Orenaukreis
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Dominique COULON
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architecte
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Nous devions l'accueillir lors des Journées de l'architecture 2020 mais la pandémie qui venait de frapper le monde nous a empêché de pouvoir la recevoir.
Cette année, dans le cadre des 22èmes Journées de l'architecture sur le thème "Architecture et Ressources", l'architecte mexicaine Tatiana Bilbao, nous fera l'honneur d'une conférence à la Oberrheinhalle de Offenbourg le mardi 11 octobre.
L’architecture de Tatiana Bilbao traduit de manière contemporaine la culture et les traditions constructive de son pays, donnant au paysage, appréhendé à ses différentes échelles, un rôle central. De la campagne mexicaine au “paysage intérieur” de chaque bâtiment, en passant par les paysages urbains, l’architecte mexicaine explore le contexte physique, mais aussi celui des idées, dialoguant avec philosophes et sociologues mais aussi nombre d’interlocuteurs d’autres disciplines.
Parmi ses divers travaux, citons le jardin botanique de Culiacán, un plan directeur et une chapelle à Jalisco sur un chemin de pèlerinage, un centre biotechnologique, un funérarium et un prototype de logement durable. Bilbao a travaillé à la création de logements à bas prix pour résoudre le problème du logement social au Mexique et construit 32 maisons dans le cadre de ce programme.
Sinaloa - État mexicain
Le Sinaloa est un État du Mexique situé sur la côte du golfe de Californie. Entouré par les États de Sonora, de Chihuahua, de Durango et de Nayarit, il occupe une superficie de 58 092 km². Avec 2 536 844 habitants, le Sinaloa est l'État le plus peuplé du nord-ouest du Mexique
« Il y a beaucoup de gens qui savent vraiment construire leur propre habitat, sans avoir besoin d'aller à l'école et d'en faire leur métier. Ce sont aussi les personnes les plus savantes car elles perfectionnent cette compréhension et ce métier depuis des siècles. Et ils vivent avec ce qu'ils ont construit. Ces personnes sont celles que j'admire le plus. »
TATIANA BILBAO
Entre géométrie et nature
L’architecture de Tatiana Bilbao traduit de manière contemporaine la culture et les traditions constructive de son pays, donnant au paysage, appréhendé à ses différentes échelles, un rôle central.
De la campagne mexicaine au « paysage intérieur » de chaque bâtiment, en passant par les paysages urbains, l’architecte mexicaine explore le contexte physique, mais aussi celui des idées, dialoguant avec philosophes et sociologues mais aussi nombre d’interlocuteurs·rices d’autres disciplines.
Acuario Mazatlan
Aquarium
"Une maison n'est pas qu'une maison"
C'est le nom de son livre très à propos qui retrace le travail de Tatiana Bilbao sur le logement, qui vont des grands projets de logement social aux maisons individuelles de luxe.
Ces projets offrent une façon de réfléchir aux limites du logement : où il commence et où il finit.
Travaillant dans l'histoire mouvementée du logement social au Mexique, Bilbao plaide en faveur de la participation même lorsque les circonstances sont loin d'être idéales et propose des stratégies spécifiques apprises au Mexique pour produire des logements ailleurs.
Ce projet pour ce parc linéaire a commencé lorsqu'un client a approché le studio pour développer une grande étendue de terrain vierge à Mazatlán. L'intervention initiale visait à développer uniquement la condition de bordure la plus proche du littoral et l'extrémité est du parc. L'intention était de créer une intervention limitée qui assurerait la médiation entre la lisière publique du parc le long de la zone commerciale du littoral et l'intimité du parc.
Ainsi, la proposition était composée d'une série de chemins qui interconnectaient le tissu urbain de Mazatlán, faisant gagner du temps aux résidents et aux touristes en leur permettant de traverser le parc. L'intention de tels parcours était de conduire l'utilisateur à travers une multitude de conditions phénoménologiques allant de zones ouvertes à côté des zones humides, à des zones forestières plus intimes, à des zones d'équipements sportifs animées et activement programmées. Ces chemins sinueux se sont inspirés de la tradition baroque de planification des jardins, établissant des lignes de vue claires et des nœuds d'entrées et de sorties dans les espaces verts qui permettent aux utilisateurs de se promener et de découvrir le parc, et les uns des autres, avant d'y accéder.
Lors de la planification du parc, le plus grand soin a été pris pour être sensible à la végétation existante, en s'assurant que tous les développements et interventions programmatiques se produisaient dans des zones où il n'était pas boisé ou où les arbres existants pouvaient être transplantés dans d'autres zones du parc.
J'ai toujours compris que l'architecture est une forme de soin.
À cause de cela, nous avons une responsabilité vraiment énorme, comme je l'ai mentionné au début - nous fournissons une forme de soins à quelqu'un d'autre. J'ai toujours pensé que le métier le plus sérieux et le plus responsable était d'être médecin, car on aide littéralement les gens à exister, mais je pense que l'architecture en est un prolongement. Et au-delà de cela, l'architecture peut nous inspirer et améliorer nos vies. Donc, au-delà de la médecine, je pense que l'architecture est la deuxième forme de soins la plus importante.
Tatiana Bilbao
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Culiacan, ville du nord-ouest du Mexique, à 80 km de la côte pacifique, compte plus d'un million d'habitants. Depuis plus de trente ans, son jardin botanique est connu pour sa collection de flore tropicale contenant plus de 750 espèces. Ernesto Coppel, président du conseil d'administration, a commencé ce jardin avec l'intention d'améliorer la qualité de vie de la ville et d'offrir aux habitants de Culiacan de nouvelles façons d'apprendre par l'expérience : toucher, voir, sentir.
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Outre sa diversité végétale, ce jardin est unique car il fonctionne comme un parc. Les visiteurs peuvent profiter de diverses activités telles que : sports, pique-niques ou promenades à travers le paysage.
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Pour développer cet espace unique, Coppel a décidé de charger un conservateur et trente-cinq des artistes les plus renommés de créer des œuvres in situ pour obliger les visiteurs à réfléchir sur la médiation entre l'art et la société. Taller de Operaciones Ambientales (TOA) a été chargé de renforcer la collection botanique dans l'une des collections prééminentes au Mexique.
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Le bureau de Tatiana Bilbao a été amené sur le projet pour développer un plan directeur qui servirait de médiateur entre le paysage et l'art, et placer les bâtiments de service nécessaires qui organiseraient le programme. Nous avons développé un modèle en traçant les branches de l'un des arbres les plus emblématiques du parc dans le plan existant et en le cartographiant dans un diagramme des besoins programmatiques. Un ensemble de bâtiments comprenant des espaces culturels, des équipements pédagogiques, des laboratoires et des serres, des entrepôts et des bureaux administratifs avec des services publics ont été déployés dans tout le Jardin.
La topographie du site et la complexité du programme nous ont amenés à conceptualiser le bâtiment comme un conglomérat de volumes rectangulaires qui dépassent du niveau du sol. Chaque case a une partie spécifique du programme et est regroupée selon ses caractéristiques. Les espaces privés sont regroupés à la base du projet, et aux niveaux supérieurs sont des espaces publics.
L'idée de conception principale a permis au programme original d'ajouter 22 500 m² d'aménagement paysager au niveau du sol. Le paysage emblématique d'Estoa est conçu avec la prémisse d'avoir une végétation indigène et une polyvalence remarquable pour remplir les fonctions d'une place publique en tant que plate-forme pour une vie sociale inclusive à l'étranger et fonctionner comme un prélude aux autres espaces et bâtiments du campus.
Dans le cadre du plan directeur de l'Université de Monterrey, le bâtiment Estoa est situé à l'ouest du campus. C'est l'entrée principale de l'université, sa position a donc un impact significatif sur l'intérieur et l'extérieur du campus puisqu'il est l'élément qui reçoit quotidiennement des milliers de personnes à leur arrivée dans l'institution.
En tant que conditions préexistantes pour notre projet, les travaux d'excavation avaient commencé sur l'empreinte du site de 2,4 hectares (5,9 acres), de sorte que la conception devait partir de la nécessité d'occuper cette zone et ainsi éviter des dépenses supplémentaires pendant la phase de construction.
Le projet a un total de 111 008,62 m² (1 194 886 pi²) de construction, où se trouvent des espaces étudiants, des zones commerciales, des bureaux de service et des salles de formation continue, ainsi que 22 500 m² (242 187 pi²) de la place.
Sur cette place, le projet intègre le plus grand nombre possible de mètres carrés d'espaces verts et compte actuellement 8 065 m² (86 810 pieds²) de végétation, ce qui équivaut à 43,3 % de l'empreinte de construction du site. L'aménagement paysager est composé d'essences de la région qui s'adaptent au climat et seuls 40 % des espaces verts nécessitent une irrigation constante.
L'Université de Monterrey a contacté Tatiana Bilbao Estudio pour concevoir Estoa, un bâtiment à usage mixte pour enrichir la vie étudiante, améliorer l'expérience communautaire et contribuer à la création d'espaces publics. Estoa est un bâtiment conçu comme un catalyseur entre le passé et l'avenir du campus. Il suit la vision du plan directeur de l'université de créer un campus piétonnier et un poumon vert pour la zone ouest de Monterrey.
Estoa est un projet défini comme un bâtiment qui fonctionne à deux échelles différentes. L'échelle urbaine répond au contexte de la périphérie du campus, et l'échelle humaine répond à l'utilisateur du bâtiment, créant des espaces plus intimes.
Merci
Tatiana Bilbao
pour votre conférence
et votre enthousiasme
Sponsors
de la conférence de Tatiana BILBAO à Offenburg
EQUITONE
Grand partenaire des temps forts des Journées de l'Architecture 2022
FEHR
LAMILUX
WA
Conférence le 27/10
à 18 h 30
Zénith
Eckbolsheim
Conférence de clôture
Peter HAIMERL
Danke Peter HAIMERL für diesen tollen Vortrag
La conférence à ne pas manquer cette année est celle de Peter Haimerl, architecte bavarois de Munich.
Nous n'avons pas été déçus car il nous a fait découvrir un monde à part :
la forêt bavaroise et son projet d’y réhabiliter projet après projet les villages voués à la désertification.
Peter Haimerl est un architecte bavarois de Munich. Haimerl est un fervent défenseur de la réhabilitation, il se bat pour préserver les anciens corps de fermes et bâtisses en ruine des villages de la forêt bavaroise qui subissent depuis les trente dernières années un fort exode rural et une dégradation massive. Il sauve de la destruction des constructions qui sont souvent complètement à l’abandon et qui risquent l’écroulement. Il documente ses projets et l’évolution des chantiers dans des séries photographiques impressionnantes dans lesquelles animaux et architecture se rencontrent souvent. Il est également connu et reconnu pour son utilisation du granit et ses projets de salles de concert qu’il entreprend dans le fin fond de la forêt bavaroise ; des oeuvres qui semblent totalement délirantes mais que Haimerl s’engage à réaliser.
Il a obtenu de nombreux prix pour sa salle de concert à Blaibach, projet qui semblait impensable mais qui accueille des musiciennes et musiciens du monde entier dans ce petit village bavarois perdu au milieu de nulle part. Haimerl y a également réhabilité l’ensemble des lieux publics du centre-village. Haimerl dit :
« Ici, il n’y a pas encore grand-chose. Et donc toujours assez de place pour ce qui semble impensable.
Il faut seulement se permettre de penser à l’impossible. »
Pour les galeries de photos, cliquer 2x sur les photos pour les ouvrir dans un pop'up.
Maître d'ouvrage : Jutta Görlich, Peter Haimerl
Architecte : Peter Haimerl, architecture
Construction : 2008
Préservation du passé : Installation de quatre cubes en béton
dans une ferme en ruine de la forêt bavaroise.
Au cours des 30 dernières années, la plupart des vieilles fermes de la forêt bavaroise ont été détruites, par ignorance et par manque d'appréciation, mais peut-être aussi pour effacer les témoins d'une époque pauvre et peut-être pas si heureuse.
Dans l'ancienne maison de la fermière Cilli, les pièces de l'ancien bâtiment sont restées en l'état. L'existant a été à peine supprimé. Cela s'applique aux fenêtres, aux anciens enduits, aux carreaux du sol.
Dans quelques pièces centrales, comme l'ancien séjour ("la Stub"), des cubes de béton en béton apparent blanc thermo-isolant sont placés. Une nouvelle vie prend place. Les meubles sont recyclés à partir de recyclage (ré-emploi).
Le nouveau encadre l'ancien - comme un tableau - , il le soutient et le protège ;
l'ancien absorbe le nouveau.
Blaibach
Il est également connu et reconnu pour son utilisation du granit et ses projets de salles de concert qu’il entreprend dans le fin fond de la forêt bavaroise ; des oeuvres qui semblent totalement délirantes mais que Haimerl s’engage à réaliser. Il a obtenu de nombreux prix pour sa salle de concert à Blaibach, projet qui semblait impensable mais qui bientôt accueillera des musiciennes et musiciens du monde entier dans ce petit village bavarois perdu au milieu de nulle part. Haimerl y a également réhabilité l’ensemble des lieux publics du centre-village. Haimerl dit :
« Ici, il n’y a pas encore grand-chose.
Et donc toujours assez de place pour ce qui semble impensable.
Il faut seulement se permettre de penser à l’impossible. »
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Tout a commencé avec la construction du nouveau centre communautaire en 2012, et le projet modèle « Ort schafft Mitte » a été lancé avec un financement du Land de Bavière.
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La communauté de 2 000 habitants de Blaibach, dans le district de Cham, près de la frontière tchèque, fait partie des régions qui reçoivent un soutien financier ciblé pour les protéger de l'effondrement économique et démographique. Cependant, les idées de construction à partir du centre sont venues de la commune elle-même.
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L'architecte munichois Peter Haimerl, aidé par l'idée du baryton Thomas E. Bauer a suggéré un projet où le centre du village ne serait pas la mairie, mais la salle de concert.
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La salle de concert a ouvert ses portes en 2014.
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Le bâtiment ne doit servir que la musique avec une grande qualité sonore.
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Le budget de construction initialement prévu de près de 1,7 million pourrait encore être augmenté par des sponsors privés, des subventions et le soutien des citoyens.
Le bâtiment monolithique a une clarté moderne et une force archaïque et est à moitié enfoncé dans la terre. Avec des matériaux régionaux tels que la pierre taillée en granit, le béton coulé sur place et le verre, le bâtiment semble sûr de lui et terre-à-terre, mais en même temps modestement élégant.
Il a été adapté à la topographie de la pente et sa forme inclinée, associée aux nombreux murs fendus, répond aux exigences acoustiques.
Depuis la mairie, dont le caractère matériel est similaire, le chemin descend par un escalier ouvert sous les rochers jusqu'au foyer bordé de bois. De là, vous pouvez vous rendre à la salle de concert du Musikhaus.
Il y a de la place pour environ 200 auditeurs, la scène est conçue pour 60 musiciens. La salle de concert a des murs en pente qui se croisent irrégulièrement. Un pliage sophistiqué et subtilement étagé de ces murs en béton de gravier mousse de verre permet une très bonne sonorité. En combinaison avec l'éclairage indirect de la lumière et des systèmes LED, la surface poreuse du béton déploie un effet spectaculaire.
Les sièges, faits de tubes métalliques avec des supports en acier, sont montés sur des marches de tribune ouvertes et sont discrètement retenus et apparemment en apesanteur. Les frontières entre art, architecture et technologie sont formellement abolies par la dramaturgie de la salle.
La dame en noir - die Frau in schwartz
"Un village de la forêt bavaroise a réussi là où les grandes métropoles échouent régulièrement : depuis septembre 2014, la communauté de 2 000 personnes est l'heureuse propriétaire d'une salle de concert de grande classe.
Le projet unique a été rendu possible par l'énergie du baryton Thomas E. Bauer, la richesse créative de l'architecte Peter Haimerl et enfin l'engagement impressionnant de la communauté villageoise".
Das Bundesministerium der Finanzen gibt im März 2019 ein Sonderpostwertzeichen „Konzerthaus Blaibach“ heraus. Die Parlamentarische Staatssekretärin beim Bundesminister der Finanzen Christine Lambrecht, stellt die Briefmarke am kommenden Montag in Blaibach vor.
Die Präsentation findet am 25. Februar 2019 um 13.00 Uhr im Konzerthaus Blaibach, Kirchplatz 4A, 93476 BLAIBACH statt.
„Ein Dorf im Bayerischen Wald hat geschafft, woran große Metropolen regelmäßig scheitern: Seit September 2014 ist die 2.000-Seelen-Gemeinde stolzer Besitzer eines hochklassigen Konzertsaals. Ermöglicht wurde das einzigartige Projekt durch die Energie des Baritons Thomas E. Bauer, den Gestaltungsreichtum des Architekten Peter Haimerl und nicht zuletzt das beeindruckende Engagement der Dorfgemeinschaft. Ein Saal, der Menschen anzieht und inspiriert, weit über das Umland hinaus. Die ungewöhnliche Raumform des schräg aus dem Boden ragenden Quaders setzt einen mutigen Akzent inmitten der ländlichen Dorfidylle. Im Inneren öffnet sich eine völlig neue Welt, in der gefaltete Wandflächen aus leichtem Spezialbeton mit einem fein konturierten Lichtkonzept eine eindrucksvolle Atmosphäre schaffen. Und dann fasziniert der Klang. Die Musik kann sich vom feinsten Wispern bis hin zum Orchestertutti transparent und packend entfalten. Wer einmal da war, weiß, was Künstler, Publikum und Fachpresse meinen, wenn sie die einzigartige klangliche Durchsichtigkeit und Lebendigkeit des Saales loben.“
(Text : Professor Thomas E. Bauer, Intendant Konzerthaus Blaibach)
Die Sonderbriefmarke wurde von Professor Armin Lindauer aus Mannheim gestaltet; Foto © Sarah Sternkopf; sie hat einen Wert von 145 Cent und ist ab 1. März 2019 in den Verkaufsstellen der Deutschen Post AG erhältlich.
"Une salle qui attire et inspire les gens bien au-delà de la région environnante.
La forme spatiale inhabituelle du cuboïde s'élevant obliquement du sol donne un accent audacieux au milieu de l'idylle du village rural.
Un tout nouveau monde s'ouvre à l'intérieur, dans lequel des surfaces murales pliées en béton spécial léger avec un concept d'éclairage finement profilé créent une atmosphère impressionnante. Et puis le son fascine.
La musique peut se dérouler de manière transparente et captivante, des plus beaux murmures aux tutti orchestraux.
Tous ceux qui y sont allés savent ce que veulent dire les artistes, le public et la presse spécialisée lorsqu'ils louent la transparence tonale unique et la vivacité de la salle ".
Archiv der Zukunft - Archives du futur
Reell
Virtuell
Des arbres et un bâtiment poussent au sud-ouest de la place de la ville de Lichtenfels, ouvrant un nouvel espace.
Un espace de nature et d'architecture, intérieur et extérieur, nature et mathématiques, program-mation et bricolage,forêt et ville.
Un laboratoire, un immeuble de bureaux, un musée, un café, un nouvel espace urbain.
L'archive du futur, un think tank d'innovations.
Matériell
"Konzertsaal Haus Marteau" à Lichtenberg
Au coeur du parc de la Maison de la famille MARTEAU a été crée une nouvelle salle de concert souterraine.
A l'intérieur de cette halle, d'immenses fragments de granit rappellent le passé minier de la région "Oberfranken"
Les éclats volent l'un vers l'autre depuis les deux coins opposés d'un parallélogramme. Elles explosent au centre de la pièce et se déposent sur les murs sous forme de formes cristallines.
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Le bâtiment existant n'a été restructuré qu'au rez-de-chaussée et au nouveau rez-de-jardin. A cet effet, le sous-sol a été creusé de 60 cm supplémentaires.
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La hauteur de cette pièce supplémentaire permet d'avoir un étage complet. Il offre de la place pour trois salles de pratique supplémentaires, un salon, une cantine et un foyer. Un ascenseur nouvellement installé assure également un accès sans obstacle au bâtiment.
Schedelberg
Das Haus des Denkens
Dans sa patrie, la forêt bavaroise, Peter Haimerl a transformé une ancienne maison de forestier en une déclaration architecturale. Situé dans une clairière forestière entre un corps de ferme et une carrière de granit, le bâtiment de 1839, une construction en rondins avec une base en granit, était à moitié en ruine.
Dans sa patrie, la forêt bavaroise, Peter Haimerl a transformé une ancienne maison de forestier en une déclaration architecturale. Situé dans une clairière forestière entre un corps de ferme et une carrière de granit, le bâtiment de 1839, une construction en rondins avec une base en granit, était à moitié en ruine.
Les blocs de granit recouverts de mousse autour de la maison ont inspiré la refonte. Haimerl les a traduits en blocs de béton de 43 x 43 centimètres de différentes longueurs. Ceux-ci comblent les vides du bâtiment délabré, supportant les vieilles poutres et continuant à construire sur la structure abandonnée de l'ancienne écurie et de la grange. Tout ce qui pouvait être préservé, comme les bardeaux de bois patinés et les murs de granit brut, est resté. La conception brute et originale du béton apparent crée un pont entre les nouveaux et les anciens matériaux.
De grandes surfaces vitrées positionnées entre les poutres en béton transmettent la légèreté et relient la maison à la nature. Les fenêtres aux contours inhabituels - elles ont des gradations de longueur différentes sur un bord - et les portes ont également été réalisées comme prototypes spécialement pour la maison.
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Spectacle
BALLET URBAIN au Zénith
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Aux côtés du très prestigieux Ballet de Rhin on compte depuis septembre 2022, le Jeune Ballet Urbain. Une compagnie composée d'interprètes avec ou sans expérience, âgés de 7 à 17 ans passionnés par toutes les formes de danse.
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Pour intégrer ce Jeune Ballet urbain, les candidats devaient présenter un solo d’une minute sur la musique de leur choix, une improvisation avec musique et chorégraphie imposées. La session d'audition a retenu 21 danseurs de tous âges.
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Le nouveau groupe dirigé par David LLARI travaillera sur une approche chorégraphique plurielle.
"J'ai développé une méthode qui s'appelle la Danse Physique Contemporaine qui s'émancipe de toute forme esthétique, je ne cherche pas à faire du classique, du Hip Hop, de la salsa ou de la zumba, la seule chose qui m'intéresse c'est qu'ils arrivent à développer leur langage corporel", explique le chorégraphe.
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Ce concept innovant de jeune ballet urbain a vu le jour en 2017 à Marseille sous l'impulsion de la compagnie marseillaise de danseurs professionnels du Ballet de Danse Physique Contemporaine. Un dispositif ouvert à tous qui s'exporte de plus en plus à travers la France.
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Objectif : affirmer une dynamique d'ouverture et tenter d'atténuer les différences. Ce type d'action a immédiatement séduit le centre chorégraphique de Strasbourg et sa directrice Anne Leroy. "Le CCS souhaite s’inscrire sur le territoire et développer des partenariats pour permettre au public d’avoir un accès à l’art et la culture", déclare-t-elle.
À Strasbourg, les danseurs viennent autant du Centre chorégraphique basé dans le centre-ville plutôt fortuné, que des quartiers périphériques, ceux du hip-hop et de la break–dance, ceux que l'on dit parfois défavorisés. "À terme ça va donner j'espère des jeunes plus émancipés, qui vont gagner en autonomie, qui oseront prendre la parole, qui vont développer un libre-arbitre assez fort et surtout qu'ils s'autoriseront à aller dans ces lieux institutionnels. Moi mon objectif c'est de leur dire que c'est leur patrimoine et qu'ils y ont accès de droit", détaille encore David Llari.
Bravo à toute la troupe du BALLET URBAIN et à leurs professeurs.
Quel spectable éblouissant !!!
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Résidence à Wildenstein
Exposition à l'Orée 85
32, Impasse de l'Ecluse
Du vendredi 23/09
au 2/10
Venez découvrir l’exposition «Ça coule de ressources», ou comment trouver
une nouvelle vie à une friche industrielle dans les Vosges grâce aux ressources locales
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matériaux,
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réemploi,
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savoir-faire, etc.
Présentation du travail de résidence à Wildenstein par l’équipe Atelier NA, BOMA – Les BOnnes MAtières et Mayker Architectes.
« Ça coule de ressources » est une démarche née de l’appel à résidence « Pour de nouvelles ruralités » à Wildenstein et constitue la réponse du groupement de l’Atelier NA, Mayker Architectes et Les BOnnes MAtières.
Cette démarche propose une façon nouvelle de voir la programmation de friches industrielles par l’entrée des ressources locales.
Si le projet en milieu rural pose de nombreux objectifs à court et long terme, et notamment sur l’autonomisation et de résilience, la réponse passera par la frugalité et devra se baser sur les ressources locales existantes, quelles soient matérielles, géo-sourcées et de réemploi ou humaines, par les savoir-faire locaux et les engagements habitants.
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C'est une usine textile désaffectée logée dans un écrin de nature, entre le Haut-Rhin et les Vosges, dans le village de Wildenstein.
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Point noir dans le paysage, ou patrimoine à valoriser ?
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C'est ce que va essayer de déterminer la résidence d'architecture qui se déroule cet été et dont les résultats seront restitués en fin d'année.
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Trois ateliers d'architecture et d'urbanisme strasbourgeois travailleront sur ses possibles reconversions, incluant la déconstruction, en s'appuyant sur les avis des habitants.
Une démarche mise en place
par Atelier Na, Mayker
et les Bonnes Matières
Depuis plus d'un siècle, les énormes sites industriels qui avaient poussé dans les campagnes européennes se vident et laissent de gigantesques pièces souvent démeusurées par rapport aux villes et villages qui les hébergent.
En plus d'occuper un espace qui pourrait trouver une autre vocation (végétalisation, extension urbaine ciblée, ...), ces friches industrielles sont généralement source de pollution sonore et visuelle, pollution des sols et des eaux, et constituent de grandes barrières écologiques (entre autres problèmes).
Penser un projet, sans s'assurer que les ressources pour le mener à bien sont présentes est une folie. Si en ville, l'attractivité et les finances peuvent rendre à peu près tout projet viable, les conditions dans le monde rural sont très différentes. A quoi bon proposer d'ouvrir une boulangerie dans un village qui en manque, si personne dans la zone ne souhaite le gérer. Ces boulangeries, épiceries, petits commerces ne sont pas partis pour rien.
Les ressources locales
comme point de départ
Des énigmes programmatiques
Que faire dans un bâtiment de 6.000 m2 dans un village de 150 habitants ? Cette problématique est récurrente dans tous les villages dans lesquelles se trouvent des friches industrielles ou non. La programmation classique ne semble pas armée pour répondre à cette question et, les réponses, lorsqu'elles existent peinent à convaincre les maires et les habitants.
Les diagnostics
Afin de travailler efficacement sur les ressources locales, nous avons réalisé un diagnostic des ressources mobilisables par BOMA. Les BOnnes MAtières, se sont chargés d'un diagnostic des ressources à ré-employer sur le site. Mayker Architectes, dans la logique de leur démarche Frugalité Heureuse et Créative, ont réalisé des diagnostics et des entretiens avec les acteurs du bâtiment, notamment sur les matériaux bio et géo-sourcés, que ce soit la pierre, du bois ou du chavre. Enfin l'Atelier NA a mené une enquête auprès des usagers de la vallée, ainsi que du porte à porte dans le village de Wildenstein pour connaître les compétences et appétences locales
L'augmentation en frise chronologique
A la fin du processus de co-conception, il a été demandé aux participants de critiquer leurs propositions, de préciser les ressources manquantes et nécessaires au bon déroulement du projet, ainsi que de les placer sur une frise temporelle, allant de la mise en placei immédiate, à la réalisation à long terme
Qui sommes nous?
Mardi 4/10
De 12 h 30 à 13 h 30
Balade sonore
au Parc Albert Schweitzer
De Marine Angé, Christophe Deleu, Léo Henry et Audrey Meyer.
Une grande villa abandonnée, des arbres venus du monde entier, d’étranges cabanes où se réfugier, des objets volants non identifiés… En 150 ans, le Parc Albert Schweitzer a connu de multiples transformations et réserve, encore aujourd’hui, bien des surprises.
Casque sur les oreilles, découvrez ce parc comme vous ne l’avez jamais entendu, entre fiction et réalité.
Le fichier audio est téléchargeable.
Le point de départ est à l’entrée du parc sur la droite, au niveau du panneau des espaces verts.
Durée : 45 min..
ATTENTION ! Le panneau de départ de la balade (panneau des espaces verts) ayant été déplacé, nous vous conseillons d'entrer dans le parc et de faire quelques pas sur votre droite (au niveau de la poubelle) avant de démarrer la lecture. Nous modifierons la balade sonore très prochainement, merci pour votre compréhension.
En raison de travaux quelques éléments de la visite sont en transformation, ce qui n’empêche en rien le bon déroulement de la balade.
Un immense MERCI
à Marine ANGE
pour cette promenade découverte
du Parc Albert Schweitzer
(Parc Gruber).
Ce fut un moment apaisant et l'histoire racontée était très agréable.
Horaires d'ouverture au public
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De novembre à fin avril
8 h à 18 h
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De mai à fin octobre
7 h à 21 h
Le parc d’activité Gruber était le lieu de production de la brasserie Gruber : elle a été fondée en 1855 (cessation d’activité 1959/1965) par David Gruber à partir d’une brasserie existant depuis 1839.
La mise au point sa bière « Bock » fit sa renommée. Durant l’hiver, il inondait les terres de l’actuel parc du CREPS qui lui appartenaient également. La glace obtenue était transportée directement dans les caves où elle se gardait telle quelle toute une année durant et permettait de conserver pendant l’été de grandes quantités de bière.
Un tracé encore visible aujourd’hui longe le parc du CREPS au nord : il s’agit là d’une digue utilisée à cette époque justement pour le déplacement des véhicules chargés de glace.
Avant 1870, la brasserie exportait beaucoup vers le reste de la France et en particulier vers Paris. La ligne de chemin de fer Strasbourg – Paris y a joué un très grand rôle.
Très rapidement, Gruber utilise des trains spéciaux pour acheminer sa bière jusqu’à Paris auxquels il ajoute quelquefois un wagon de voyageurs en fin de convois.
Pourtant, après la guerre de 1870, toute exportation en dehors de l’Alsace est interdite et les allemands introduisent aussi leur bière, limitant ainsi la production et la consommation à l’Alsace.
Sous le régime allemand, la brasserie locale est obligée de se replier sur elle-même et de se limiter à une clientèle purement régionale.
Après l’armistice en 1918, la bière de Strasbourg, et en particulier la bière Gruber, est appréciée plus que jamais et peut alors reprendre son essor. Au plus fort de sa production (juste avant 1870), Gruber écoulait 50000 hl dans la région, vendait 50000 fûts et 1.2 millions de bouteilles en dehors.
Mardi 27/09
De 18 h 30 à 20 h
Bibliothèque Nationale Universitaire
Place de la République
Cinéma + Conférence
L’architecture
n’est pas une image :
Le Centre de création contemporaine Olivier Debré
à Tours par les architectes
Manuel et Francisco Aires Mateus, 2020
Le film établit un parallèle avec d’autres bâtiments réalisés avec son frère Francisco Aires Mateus au Portugal et au Belgique. Il a été coproduit avec Daoud Bouledroua et avec le soutien scientifique de Jean-Christophe Royoux (Direction régionale des affaires culturelles région Centre – Val de Loire) pour le Centre de création contemporaine Olivier Debré à Tours (CCCOD). Le film a eu des nominations officielles à Prague au Prague International Indie Film Festival 2020, à Detroit, Michigan au Better Cities Film festival 2020 et à Portland lors du Oregon Documentary Film Festival Fall 2020.
Les architectes mêlent subtilement pleins et vides, et l’extérieur du nouveau bâtiment a été conçu comme un cube ; la base, constituée d’une ceinture transparente, permet aux visiteurs d’apercevoir les installations de l’extérieur.
Le monolithe qui abrite les salles d’expositions dont la Salle noire du rez-de-chaussée, dédiée aux expositions d’art actuel est relié par un corps de verre à un ancien édifice réhabilité. Cette «nef», de style art déco, édifiée par l’architecte Pierre Patout dans les années 1950, est le seul élément préservé de l’ancienne école des beaux-arts.
Avec ses 11 mètres de hauteur, elle offre un lieu d’exposition visible aussi de l’extérieur. La couleur blanche des deux corps de bâtiment et l’utilisation de la pierre régionale de Tercé entrent en résonance avec le bâti ligérien. Précisons que le centre d’art et les espaces publics qui l’entourent, dont le coût s’est élevé à 16 millions d’euros, une somme raisonnable pour un tel projet, font partie d’un vaste plan de rénovation urbaine de l’entrée nord de Tours.
Avec 2 000 m2 de surface d’exposition, un budget de fonctionnement de 1,2 million d’euros mécéné à hauteur de 10 % , une équipe qui a doublé 13 permanents , les expositions désormais payantes, le centre entame une nouvelle phase de son existence.
Orpheum de l'école Mickael
Visite
Claire-Marie BROLLY
Architecte
Vendredi 14/10
De 18 h à 20 h
Ecole Mickael
2c, Rue du Schnokeloch
Visite de l’Orpheum
de l’école Michaël
coiffé d’une coupole de bois massif et inauguré en 2003
Les marchés ont été signés
en 1998.
L'ouverture de ce lieu
date de 2000.
Merci Claire-Marie BROLLY qui a mis toute sa passion dans la présentation de l'ORPHEUM. Elle était parent d'élèves dans cette école privée sous contrat.
Marius GRIMAUD nous a fait partager son enthousiasme de professeur de mathématiques et de choral dans un lieu où il travaille depuis 5 ans.
La visite a débuté autour d'un verre de vin et de kougelhopf très appréciés par le groupe.
Sous la douche, le ciel
24/10 à 18 h 30
ENSAS
Film proposé
par le LIEU DOCUMENTAIRE
Laurent D'URSEL (né le 4 mai 1959) est la cheville ouvrière de ce projet de création de douches pour les SDF. Economiste, puis philosophe, puis professeur de français puis plasticien.
À Bruxelles, un groupe de citoyens tâche pendant cinq ans de trouver, financer et réhabiliter un bâtiment qui accueillera des services sanitaires permettant aux plus démunis de "se refaire une beauté et redresser la tête".
Leur parcours du combattant, tant financier qu'administratif, prend les allures d’un film à suspense.
Sous la douche, le ciel donne à voir la transformation d’une idée en réalité, revendiquant la place de l’imagination comme moteur d’action citoyenne face à un horizon politique bouché.
Effi & Amir sont des artistes-cinéastes basés à Bruxelles. Ils ont étudié les beaux-arts à l’académie Bezalel de Jérusalem et au Sandberg Institut d’Amsterdam et sont actifs en duo depuis 1999 sous le nom d’Effi & Amir.
Leur pratique comprend la réalisation de films,
la vidéo, la performance et les projets participatives.
Le bâtiment DoucheFLEX a été inauguré le 26 avril 2017.
Depuis il accueille quotidiennement environ 100 personnes.
Son fonctionnement, au même titre que l'achat et la rénovation est assuré par des fonds privés et une centaine de bénévoles.
Fin 2011, DoucheFLUX voyait le jour sous l’impulsion d’un groupe de citoyens engagés.
Au centre de son action, les personnes en situation de précarité avec ou sans logement, avec ou sans papiers, d’ici ou d’ailleurs. 10 ans plus tard, c’est un centre de jour pleinement opérationnel offrant des services de première nécessité, un hébergement de transit pour femmes et couples, une multitude d’activités redonnant confiance en soi et dignité aux personnes sans chez-soi...
Toute une équipe de travailleurs, bénévoles et sympathisants animés
par la même conviction que le sans-chez-soirisme n’est pas une fatalité.
Philippe Geluck vous propose une sérigraphie exclusive du Chat, numérotée et signée, éditée à l'occasion des 10 ans de DoucheFLUX à 100 exemplaires seulement !
Il reste encore quelques exemplaires,
disponibles au prix de 200 euros.
